Notre religion est la seule qui se fonde sur le tragique de la vie, qui l’affronte, à la suite de son fondateur, Jésus crucifié...

Après le passage à la foi, l’épreuve arrive, qu’il faut savoir recevoir comme une grâce.

Extraordinaire impression de joie, bienveillance, pureté et simplicité... au lendemain d’épreuves terribles et dont il n’était pas encore sorti.

Paul développe une passion terrible pour la défense de la Foi, mais tout de suite après il relève son adversaire et se montre son Bon Samaritain !

Angoisse, demande, confiance et action de grâce : voilà tous les sentiments que s’appliqua Marie, et nous à sa suite !

Engagé dans les Chantiers de jeunesse, Georges de Nantes participa au redressement de la Révolution nationale : rude apprentissage ! L’Église prit le relais, maternelle, lors de son entrée au séminaire : il en est le fils légitime !

On peut vivre très longtemps en criant vers Dieu : « Mais jusques à quand, Seigneur ? » Dieu le veut et donne sa force !

« Saint » signifie « séparé ». Pendant le carême, les chrétiens sont appelés à se séparer du monde et lutter contre Satan avec l’aide de Jésus, notre modèle.

Oratorio de frère Henry de la Croix.

Commentaire littéral de l’oratorio par frère Bruno.

Le chrétien baptisé accepte d’emblée l’enseignement de Dieu sur Lui-même – la Sainte Trinité – et sur l’univers – sa création, son bonheur, sa chute.

Notre Père prononce quelques mots en remerciement de la rétrospective de son combat réalisée en vidéo par les frères et jeunes phalangistes canadiens.

Pour que naissent en nous « les ardeurs plus vives d’un amour plus profond », adonnons-nous à l’oraison amoureuse !

Jésus compatit à nos souffrances humaines et accepte de souffrir Lui aussi, pour nous enseigner la vertu de l’épreuve.

Notre Père était soutenu par une invincible espérance : l’apostasie de l’Église n’aura qu’un temps et sera suivie d’un extraordinaire renouveau de la Chrétienté.

Pendant le carême, mourons avec Notre-Seigneur pour ressusciter avec Lui !