L’entrée de Jésus dans sa vie publique revêt les mêmes charmes que son entrée dans le monde à Noël. Frère Bruno en détaille les trois étapes, intimement liées : le baptême, les quarantes jours au désert et les noces de Cana.

Jésus se soumet au baptême de Jean, rite d’Ancien Testament, pour reverser ses richesses de grâces sur nous par le baptême chrétien.

Après trente ans de vie cachée où Jésus déjoue l’Adversaire, il lui faut entrer dans l’arène publique, de manière royale ! Ce sera son baptême, sa retraite au désert, avant son premier miracle à Cana !

Recevons le choc de l’Évangile de saint Marc retranscrivant l’enseignement de Pierre et de Paul aux païens : l’annonce et la venue d’un Roi, Fils de Dieu, qui remettra leurs péchés, par le baptême !

Les manuscrits de Qumrân nous révèlent ce que furent les esséniens et leur doctrine. Issus d’un mouvement de “ contre-réforme ” juive, ils seront les premiers à se convertir au christianisme.

Avec la découverte de Béthanie au-delà du Jourdain et son enjeu théologique, puis les noces de Cana – plutôt celles de l’Époux et de l’Épouse –, frère Bruno achève le cycle de l’Épiphanie du Sauveur !

Dès les premiers mois de sa vie publique, avant même sa prédication en Galilée, la messianité royale de Jésus s’est manifestée en plénitude.

Au baptême de Jésus, la colombe figure la présence spirituelle de la Vierge Marie, temple du Saint-Esprit !

Frère Bruno analyse pour nous ce livre à la lumière de l’enseignement de notre Père, en décèle les erreurs dues à l’esprit conciliaire et nous en donne le contrepoison.

Jusque dans les mystères glorieux, l’inspiration divine des textes est évidente, révélant l’infinie sagesse, matérielle puis spirituelle, de Dieu ! J’aime Jésus parce que j’aime David !

Les Évangélistes nous rapportent leurs premiers souvenirs du Maître. Inoubliables ! Désigné par son Précurseur, Jésus charme les foules, enseignant avec autorité et multipliant les miracles !

Pour que naissent en nous « les ardeurs plus vives d’un amour plus profond », adonnons-nous à l’oraison amoureuse !

Il n’y a qu’un seul baptême, celui du Christ, répond saint Augustin aux donatistes de tous les temps. Mais que penser de la colombe ? Écoutez le Père !

Fixons nos regards sur Jean qui n’a rien, qui n’est rien... qu’une voix pour annoncer la Lumière ! Quel exemple !