Les trois saintes vertus ont germé comme naturellement sur le terreau des conditions de vie, dures et injustes, au dix-neuvième siècle.
– La pauvreté, subie, acceptée ou recherchée, reste une béatitude évangélique, développant le sens de l’aumône.
– L’obéissance, devenue contrainte et discipline d’airain après la Révolution et l’Empire, produit de bons fruits, chez les catholiques soumis aux autorités, et c’est l’immense majorité.
– Enfin, la chasteté, extrême en réaction aux débordements révolutionnaires, règle les mœurs.
Le dix-neuvième siècle a été grand par ces vertus que notre société moderne ne peut admettre.