Tandis que les soldats canadiens se couvraient de gloire en France, la crise de la conscription occulta leur héroïsme et sonna le glas d’un nationalisme canadien rassemblant les deux peuples fondateurs.

L’activité incessante d’Esdras Minville, maître du nationalisme canadien-français fut animée par un seul idéal : sauver l’âme du Canada français. Sa doctrine écologique rejoint celle de nos 150 Points de la Phalange.

Est-il possible, dans un esprit évangélique, d’adapter à la réalité du monde moderne une Église devenue conservatrice et donc impuissante à diriger les bouleversements socio-économiques ?

Le Canada français a-t-il été, entre 1940 et 1944, pétainiste ou gaulliste ? C’est le sujet d’une thèse récente que présente frère Philippe.

La Révolution tranquille a porté un coup fatal à la chrétienté canadienne-française au début des années 1960. Mais sous quelles influences a-t-elle pu se faire ? Qu’est-ce qui a empêché les nationalistes canadiens-français de s’en défendre efficacement ?