Ce camp est la synthèse de la recherche, initiée par notre Père, d’une orthodromie catholique, universelle, qui englobe les disciplines les plus diverses dans une science « totale », une géopolitique catholique.

Après l’alliance sino-japonaise, deux politiques s’affrontent : la géopolitique des Russes, soucieux de leurs intérêts ; la morale des droits de l’homme des USA, ruinant le monde dit libre.

Au plus loin de la présentation médiatique actuelle, voici la guerre de Syrie dans son contexte historique et géopolitique, à l’école de notre Père et à la suite de frère Bruno de Jésus-Marie.

Un prêtre peut-il faire de la géopolitique ? Certainement, quand c’est celle de notre très chéri Père Céleste ! Voici donc un lumineux survol de l’histoire universelle à l’aune du dessein de Dieu, où notre Père, cartes à la main, nous dévoile et analyse l’histoire du monde vue avec le regard de Dieu.

Comment comprendre la géopolitique de l’Europe au commencement du XVI^e siècle ? En suivant notre Père qui nous en donne l’intelligence, cartes à l’appui, à l’école des saints et selon le dessein de Dieu.

Un livre dont l’analyse politique est géniale – proche de Maurras et Bainville ! – mais la solution, d’un homme sans passé ni doctrine politique. À lire !

Se fondant sur les discours et entretiens de Vladimir Poutine, au long de ses différents mandats, notre frère expose la ligne tenue par le président russe, faite de sagesse et de pragmatisme dans les domaines économique, politique et militaire, au plus loin de tout impérialisme.

Frère Bruno tire une leçon géopolitique de la guerre en Afghanistan : un cours magistral de stratégie nationaliste et catholique, résultat d’une application serrée des principes posés par notre Père en des occasions similaires !

La vision du troisième Secret de Fatima se réalise sous nos yeux : l’incendie des guerres et des persécutions contre les chrétiens au Moyen-Orient et en Afrique ; un Saint-Père vacillant désireux de promouvoir la paix, mais pas toujours avec les bons principes d’action.

La Russie est dressée depuis vingt ans contre le messianisme américain. Mais il reste un obstacle formidable à sa conversion : l’apostasie romaine, institutionnalisée dans le Chemin synodal.