Lecture d’un livre apprécié de notre Père sur Mgr de Belsunce, évêque de Marseille lors de la peste de 1720. Un exemple dont nous ferions bien de nous inspirer pour stopper l’épidémie du coronavirus et nous convertir !
D’emblée, nous sommes plongés dans le climat provençal – avec l’accent ! – grâce au portrait haut en couleur des deux principaux protagonistes du drame qui va se dérouler : Mgr de Belsunce et la ville de Marseille.
Arrivé par un bateau rentrant de Syrie, un mal étrange se propage dans les ruelles de Marseille. Fièvre maligne, veulent croire les Marseillais... C’était en 1720, mais on s’y croirait vraiment...
Dans un Marseille en crise économique et où les médecins se révèlent incapables de soigner les malades, toutes les solutions humaines sont impuissantes face au fléau que beaucoup refusent encore de reconnaître comme la peste.
Enfin, le mot est lâché et des mesures drastiques sont prises. La peste se répercute dans tous les domaines de la vie marseillaise. La panique commence à se répandre... Seul Mgr de Belsunce, en véritable homme de Dieu, garde son calme.
La lecture d’un article de frère Thomas poursuit le récit de la peste de Marseille commencé par l’ouvrage d’Armand Praviel tout en le complétant, car il y a un grand absent dans son livre...
Voici la leçon pleine d’espérance de la guérison et de la conversion de Marseille suscitées par l’intervention miraculeuse du Cœur de Jésus. Leçon que nous devons faire nôtre aujourd’hui en nous tournant vers le Cœur Immaculé de Marie.
Belsunce (Mgr de) - Épidémie - Marseille - Peste - Peste de Marseille (1720-1722)
