Ce chapitre impose le culte de l’homme auquel « tout doit être ordonné comme à son centre et sommet », au nom de l’absolue dignité humaine. À l’homme, sommet de la création et investi de l’Esprit, est reconnue une liberté follement exaltée, poussant l’orgueil humain à considérer avec sympathie l’ultime transgression : l’athéisme, forme légitime du culte de l’homme... Aucune condamnation, non plus que du communisme, mais une offre de collaboration grâce au nouvel évangile démocratique.
Cette gnose – de Karol Wojtyla – transfère à l’homme qui se fait Dieu, tous les attributs du Dieu fait homme, substituant à la religion catholique avec ses dogmes, sacrements et discipline, la religion humaniste mondiale.
Au feu !
Autodafé (Georges de Nantes) - Concile Vatican II - Gaudium et Spes - Gaudium et Spes 22, 2 - Athéisme - Communisme - Dialectique hégélienne - Dignité de l’homme - Gnose - Gnose de Karol Wojtyla - Liberté - Luther (Martin) - MASDU - Pie X (Saint Joseph Sarto, Pape) - Révolution kantienne - Wojtyla (Karol)